Ceux qui fréquentent ce blogue ou qui me côtoient connaissent ma passion pour le journalisme. Je profite donc de la Saint-Valentin, et de la journée « J’aime ma presse écrite » pour faire une déclaration d’amour à mon métier, et surtout à son importance.
Sans presse écrite, qui serions-nous?
Miroir de notre communauté, elle incarne tout :
Le reflet de nos fiertés, de nos réalisations,
Le théâtre de débats, d’échanges et d’opinions.
Sans presse écrite, que saurions-nous?
De nos élus, les bons et moins bons coups,
Les enjeux de société, la quête de la vérité,
Passeraient sous silence dans l’obscurité.
Longue vie à la presse écrite,
Une industrie si importante, mais qui périclite.
Devant l’inaction de l’État à appliquer l’équité,
Des grands joueurs du Web se sont gavés.
Ils s’enrichissent à partir de contenus
Pour lesquels la presse écrite ne tire plus de revenus.
Devant cette difficulté à pouvoir se financer,
Plusieurs journaux n’eurent d’autre choix que de fermer.
C’est un danger qui les guette tous,
Mais il est encore temps d’aller à leur rescousse.
Réitérer en la presse écrite notre confiance,
C’est lui offrir enfin une seconde chance.
Aujourd’hui, des représentants de la Fédération nationale des communications se rendront à Ottawa déposer une pétition de plus de 7100 signatures réclamant du gouvernement fédéral des mesures d’aide à la presse écrite.
Des activités de sensibilisation auront lieu aux quatre coins du Québec. Pour en savoir plus: http://www.fncom.org/2018/02/06/14-fevrier-journee-damour-a-presse-ecrite/
J’ajouterai : Histoire d’amour et de désir. Nous les artistes anonymes. De la sculpture ou de la rime. Tenterons de vous la transcrire. Pour les siècles à venir.
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